Bien loin au fond des jours L’Eden Te souviens-tu Notre maison était bien calme et sans encombre Le soleil irradiait et moi j’étais ton ombre Je courrais dans tes pas insouciant dévêtu Tu me disais J’ai peur le colibri s’est tu Ne crains rien mon amour le silence est une ombre Qui s’efface au matin quand la molle nuit sombre Emportant sous son bras les rêves en fétu Que veux-tu ce matin Dois-je chercher de l ‘eau Je ferai pour le mieux pour contenter ma rousse Ce jour ne sera pas le dernier de mon lot Chacun cherche son Eve au milieu du chaos Une épouse capable intelligente et douce Pour exister vraiment mieux ici que là-haut E R